31/05/2009

j'ai des voix ! (ça se soigne eh! patate !)



dimanche dit
de "Pencôte" quel Esprit
- sain de corps ?-
descendit en mon ici & bas & cependant même
(que le vôtre)
j'ai tôt ce matin entendu une voix
qui me disait (il était à peine 7 heures)
- "Va !"
- "oui oh voix ! j'irai volontiers
mais zoù ?
- butter tes patates eh corniaud !
- j'y allai donc dans la fraicheur dite matinale & pentecôtière de surcroît
(est-ce que ma récolte de "rattes" sera prolifque ? )

29/05/2009

retirer ça et ses alentours




"Dire : voilà, de cette diversité, de ces possibles, je retire ça et ses alentours" dans le dernier message du blog "Les pas perdus" , et cette phrase m'a plu .
j'ai "volé" aussi la photo couleur et ai eu envie de lui "retirer ça et ses alentours" pour faire écho à cette autre phrase du message : "On avait cru que c’était possible de dessiner rêveusement des lignes d’erre à la surface du globe"

27/05/2009

DALIDA EST INCREVABLE

t'es mort man !

encore des mots toujours des mots etc etc

"des mots justes ? (allusion)" (2004)
carte postale éditée à 800 exemplaires, octobre 2004
10,5 x 15 cm
éd. cARTed

c'est chez kl/loth (à suivre)(en cliquant one more time)(de nos jours si tu cliques pas

t'es mort)

à force je m'enmaile !

"Mail moi"
carte postale éditée à 500 exemplaires, novembre 2002
10,5 x 15 cm
éd. cARTed

(je clique donc je suis !)

J'AGRASSE (coup de fatigue ?)

LA POESIE EST UNE ESCROQUERIE VIVE LA PROSE (approximative)
(pilote de notre série inédite et pour – mauvaise- cause)

J’agrasse . Mais tant qu’à faire : trop . Ou carrément . Rondement plutôt . Affaire d’âge ? de ventripotence ? ai tête qui ventripote assez . Je concède ça . Agrasser donc mais non sans fondements . Les fondamentaux de mon économie sont solides . Mes substrats . Gras oui ça dame on peut l’avancer . Gras double substratiquement . Sans fard . Sans faux semblant ni faucille pendante ni quelque- conque marteau avec ou sans maître queue ou d’armes . Blanches ou noires selon notre bon vouloir de passage . C’est quand même fort c’t’histoire . Rires gras . Vous êtes mauvais public . Vous moi et les autres itou : gras rieurs jaunes . On dit : « on m’l’a fait pas à moi » ou « à d’autres » . Y a tout bonnement pas d’autres que vous autres et moi et nous . Qui tous mêmement agrassons à tout va . Faute de Dieu . Ou dieux . Ou même seulement deux . Choix . Branches d’une autre croix. Qu’on n’a pas hein les gars ? ni croix ni choix . Viva la mierda & arriba los manos & my name is alias & qui moi même âme qui vive &tzerat (quittant fievreusement tous les bateaux où on les mène) . Est-ce , agrasser , veux je dire , vous suivez , le guide , la main courante, les signes de ma piste , tomber dans la prose ? Crainte ai et diable aux trousses de mes écolières poesies . La prose ça vous pose tout de même homme en vlang vlang masse de mots d’homme. De vrai de vrai d’homme . Avec des poils .& des voiles . Des marins quoi. Pas malins malins mais âpres . Âpres diables détroussant les mers comme jupons de vierges salines . Achabs quoi . Faut il donc tout vous pointer du doigt aux ongles si sales qu’un poète belge s’est pendu . Et son gibet sert d’amer à tous les caboteurs de petits larges et de court cours . Moi quoi & vous itou . Vos gueules ! mouettes de trop grande jacasse . Au pied ! Couchées ! bitumées ! goudronnées ! roulez roulez jeunes oies ! vous & moi & tse tse & rat . J’ai sommeil assez de tout ça . J’agrasse oh j’agrasse contre vents et mariés contre sangs et dents cariées contre chefs de rangs et reprises d’envolées contre mauvais traitements et il n’y a plus d’vrais étés contre c’est bientôt l’printemps et jésus s’est mis à baver contre forts des halliers et marcassins guillerets Je joke pour point trop ou pas assez pleurer . « chouigner » qu’on disait . « Eh ! le con y chouigne ». J’agrasse pour chouigner à toute mon aise . En gros . Pas de détail ! On fait pas dans les détails dans le « particulier » alors casse toi tu veux . Here c’est pas ta place . T’es de trop . T’es trop p’tiot . Agrasse man et reviens nous voir . Bye mon neveu . Dis bonjour à ma tante . Décampe eh ! mineur sans fond . C’est trop , hein ? c’est que du trop de trop de trop . Allez vous faire tropper chez les rethoriqueurs mes gars ! J’agrasserai sans vous et sans feux ni foie de veaux sous leurs mères – vous – et sans mers quelconques pour y tendre mes voiles . M’en fous j’ai toujours eu le mal à mes amers . Et n’aime pas degobiller à toute âme va par dessus vos bords préétablis . Je ne renvoie pas moi ! Ni vos ascenseurs ni vos vagues de vos âmes que vous n’avez pas plus que moi . Pleutres & piètres sur vos radeaux de méduses cablées & connectées & satellisées direct from new Hell sans quelcon-que angels . Pfuit pfuit pfuit ! cassez vous en petits miroirs à vos alouettes sans ailes . IL FAUT AGRASSER . FAUT-IL ? YA !yes ! ÎO man ! sûr de chez sûr ! Allez va je ne vous hais point et mains liés aux poteaux de nos.vos jours sans couleurs . (à s’en suivre ) (pour un prochain épisode où notre héros se prendra pour une baleine) (ah les corsets usuels) (à vous de dresser la liste)

24/05/2009

crossroad blues


vendra-t-elle son âme au diable ?
comme Robert Johnson ?

23/05/2009

dalles (suite)


dalle encore
avec deux l & un e
sinon ça ferai dal : droit au logement
ce droit ( ?) je l’ai , ou plutôt j’ai le logis
vieux logis « au demeurant » oh pas logis de prince mais mien où désormais je demeure
très vieil ah oui vraiment les dalles ont trois siècles
dalles de pauvre logis (ah si vous voyiez les dalles des vieilles & riches fermes d’antan !)
ces dalles là elles & moi nous nous convenons assez bien
elles sont si tant usées patinées & au départ si mal taillées qu’elles semblent couturées
de cicatrices
dalle peau de pierre tannée paupière de quels yeux fermés
j’en sais que dalle de ce qu’elles ont vu

sous mes pieds nus elles sont lisses & fraiches
un soir d’un jour où il fit très chaud

ANTOINE EMAZ


Après « lichen, lichen » (éditions Rehauts 2003) et le récent « Cambouis » (Le Seuil 2009) vient de paraitre un troisieme volume des carnets de notes d’Antoine Emaz .

Je tiens , depuis longtemps , Antoine (et pas parce que c’est un vieux pote) pour une des voix majeures de la poésie d’aujourd’hui . Ca commence d’ailleurs à se savoir , par exemple , la revue TRIAGES (editions Tarabuste) a publié cette année un numéro spécial contentant les « Actes » d’un colloque universitaire consacré à l’œuvre d’A.E (et contrairement à ce qu’on pourrait croire ces « actes » d’un « colloque universitaire » ne sont vraiment pas chiants du tout à lire !!!!! sauf une intervention qui est caricaturalement très trèzuniversitaire ). Autre exemple encore de cette "reconnaissance" : les editions du Seuil ont publié dans la collection Points-poésie une anthologie des poèmes d'Antoine (1990-1997) sous le titre "Caisse Claire" . la plus grande partie de ses livres , depuis plusieurs années , sont publiés aux éditions Tarabuste , mais on peut le lire aussi aux éditions Wigwam , à l'Idée bleue etc etc . JE RECOMMANDE VEHEMENTEMENT !

Comme dans les deux volumes précédents Antoine nous fait pénétrer dans son « atelier » , il nous montre ses « outils » , il nous explique par quels « gestes » il parvient au poème , il nous invite à partager ses satisfactions et ses ratages , ses certitudes approximatives et ses incertitudes certaines etc etc

Nouveauté dans ce volume , trois séries intitulées « pensée effilochée » : aphorismes, notes ultrabrèves (deux mots parfois) , constats lapidaires . La tonalité est très ironique , sarcastique parfois , gentiment moqueuse d’autre fois .


« Grouillement d’idée ne dépassant pas le stade de la larve »


« Même une toile cirée peut donner des signes de faiblesse » (et qui a lu tous les bouquins de poèmes d’Antoine sait que cette « toile cirée » là n’est pas rien !)


« Bourreau de travail, bourreau des cœurs , pas bourreau de poésie.Il doit y avoir une raison »


« Vulnérable , bien sûr . Qui a envie de ressembler à un panzer ? »


« Clément Ader comme icône : on retombe toujours »


et celle là que je soussigne des deux mains même si je ne suis pas ambidextre :

« La poésie n’a pas à être bonne fille , gentille infirmière ou mère attentive »



22/05/2009

eh! l'arbre ! oui toi là ! tes papiers !


ah la la ! j'en ai des problèmes !
j'ai des arbres et je sais pas leurs noms (sauf les pommiers, les poiriers , le cognassier , le prunier , les cerisiers et le pêcher : parce que ça se mange)
il y a en a que j'aime bien , surtout à la fin de l'automne
j'ai demandé à ma petite belle soeur comment il s'appelait , elle m'a dit : "un russe"
je ne lui avais jamais trouvé un air précisément slave à mon arbre mais , bon , va pour "russe"
et puis un mec "qui s'y connait en arbres" m'a dit : "c'est un sumac"
ah ? bon ! va pour "sumac" , là pour le coup ça lui donnait un air "inca" à mon arbre
et v'l'a-t-il pas qu'un autre mec qui "s'y connait en jardin" me dit que son nom c'est "un vinaigrier"
et que c'est chiant parce que ça fait plein de repousses (il a raison)

j'ai commencé à le regarder d'un oeil nouveau mon arbre : "toi mon loulou tu nous caches quelque chose !" me pensè-je "tous ces noms c'est pas net- net !"
et puis je me suis marré en me disant qu'il se prenait peut-être pour Fernando ¨Pessoa , mon arbre et qu'il avait plein de pseudos

j'ai voulu en avoir le coeur net , j'ai été m'instruire sur Nenet
et O magie magique , ils avaient tous raison : mon adorable petite belle soeur , le mec aux arbres et le mec aux jardins !
mon arbre c'est bien un "rhus" (ça s'écrit comme ça ) et aussi un "sumac" et aussi un "vinaigrier"

ça m'a fait plaisir de l'apprendre
mais en fait je m'en fous , maintenant je l'appellerai Fernando !

20/05/2009

mildiou

F... ! t'as encore oublié de cliquer pour agrandir !!!!

Mauricette is back !!!!



Parmi les incunables & autres raretés précieuses de ma bibli il y a les "lettres de l'asile" de Mauricette Beaussart parues en 1995 à la pharamineuse "Station Undergroud d'Emerveillement Littéraire" . Depuis cette lecture je suis un groupie de Mauricette ! Elle avait tenu un blog pendant quelques années puis avait disparu de la globosphère : she's back !
et toujours aussi rocky cette chère vieille amie ! (si vous lui postez des messages écrivez gros elle est un peu dure de la feuille)

18/05/2009

dalle



depuis quelque temps , chaque début de soirée , les vieilles dalles roucoulent comme des berdines parce qu'un jeune beau de rayon de soleil vespéral & cependant printanier les caresse
pendant ce temps je me sens très prosaïque : plus le temps passe et plus
j'ai .... la dalle !

faudrait que je mange un peu plus à midi peut être ?
je hais la poésie des lumières printanières de début de soirée
(c'est pas vrai mais ça me plait d'écrire ça )
(et vice versa)

17/05/2009

dimanche soir



j'avais un vieil ami
il est dead
mon vieux "cartable"
depuis j'ai une espèce de truc à la con
genre jeune cadre mal encadré
que je hais
sauf ce soir : il me fait pitié assez
il baille d'ennui à l'idée que demain
c'est lundi

ça me rassure !


qui peut me dire pourquoi cette très très vieille image me rassure et me redonne confiance dans les humanoïdes bipèdes , mes fuckin' semblables & frères ?

16/05/2009

j'ai été croqué vif par une petite fille

dessin de Noa Bulle - reproduction très interdite !


mercredi en fin d'après midi , à la bibliothèque municipale de Lyon (une very big one) j'ai été "croqué"
oh pas par un loup !
mais par une adorable petite fille
(on vit des zépoques zétranges où d'adorables petites filles "croquent" les vieux barbus : les loups ont intérêt à se recycler ) (ce qu'ils ont déjà fait : dans la politique et/ou dans les "zaffaires")

elle m'a "croqué" lisant un texte intitulé "poème avec des taches sur ma culotte" , je le copie/colle donc pour "aller avec" son croquis (notamment parce que j'évoque dans ce texte des souvenirs d'un temps où j'étais moi aussi un "petit" loup - sans dents qui rayent les parquets ! juste des dents de lait )
rectification : je ne copie/colle rien parce que je ne retrouve pas ce fuckin poem avec taches sur la culotte (il doit être "enregistré" avec un "nom de fichier" du genre "poème indien" ou "poeme du 18 juin" ou kkchose comme ça !!!! )

11/05/2009

a sweet rain a gonna fall

pour frasby : oui ! faut cliquer "dessus" pour AGRANDIR !

linon

(on rappelle qu'il faut "cliquer" pour agrandir le "carnet-de-l'écrivain-à -spirale"

LINON, subst. masc.
TEXT. Étoffe très fine de lin; p. anal. de coton. Ce qui est gracieux, ce sont ces toilettes légères, blanches et unies, en toile, en linon, en pékin (Proust, J. filles en fleurs, 1918, p. 899)

06/05/2009

no-photo no ciel (3)


ICI ON ENTEND LE BLUES DE CAIN

quel con ce ciel (bleu) (photociel 2)

fond d'oeil (photociel 1)



commentaire sur un message précédent :

Éric a dit...

Tu les exposes quand, tes photociels, Beardy ?


donc envie d'essayer ce que ciel et oeil / cieux et yeux mélangés peuvent "donner" à voir
ciel "pris" hier soir
(références précises du bouquin d'Antoine : "caisse claire - poèmes 1990-1997 editions du Seuil - coll Points) (ne soyez pas effrayés par la tronche de serial killer tchetchene que les éditions du Seuil ont choisi en couverture comme "portrait" de cet excellentissime humain qu'est Antoine E. !!!!)

04/05/2009

je joue avec ma police




keep quiet ! à chacun sa défoule (& je ne sais pas me servir d'une XBox ou d'un PSP 66)

Zone d'Intention Poétique


Monsieur Bouton à Paris à l'espace Kiasma

RELECTURES 7
ENCORE N°1
Jeudi 14 Mai 2009 à 18h00
18H00 DEBAT / LECTURES / PROJECTIONS
Avec Michel Jeannès, Patrick Fontana, Till Roeskens (liste en cours)
Michel Jeannès, auteur et plasticien, a développé depuis 1998 un ambitieux projet artistique et citoyen avec les habitants du quartier de la Duchère à Lyon à partir du bouton - plus petit objet culturel commun - considéré ici dans sa fonction de médiateur et de métaphore du lien social. Il proposera un témoignage de cette aventure, où il expérimente différents dispositifs participatifs pour faire émerger un espace de collaboration avec les habitants, et expose le déplacement de la notion d’auteur qui en est la conséquence.
À partir des témoignages d’autres artistes invités, un échange s’engagera avec le public autour des différents enjeux, modes opératoires et difficultés d’une écriture artistique travaillée par le principe de participation et d’implication dans un tissu social de proximité. Comment s’écrivent alors les œuvres, quel sens ont-elles dans le contexte de leur production pour les personnes qu’elles ont impliquées et comment se déplacent-elles ensuite vers les espaces spécifiques de la diffusion de l’art ?
Ponctuée de lectures, d’écoutes et de projections, cette soirée sera la première de la série Encore ! consacrée aux nouveaux territoires de l’action culturelle, aux processus participatifs et à leur relation avec les pratiques contemporaines de l’art.

03/05/2009

ah chouette !


ah chouette ! temps gris de plomb et pluie : temps magnifique pour reprendre le boulot après 15 jours de vacances printanières !

photo en clin d'oeil aux "prises de ciel" de HL/Loth
(question : que serait une photo clin de ciel : une prise d'oeil ? )

réclame !


Au cas où un de vous, amis visiteurs, soit à Lyon à cette date et n'ait vraiment rien à faire d'autres à cette heure là (siroter un petit verre de blanc frais à une terrasse par exemple !!!!)
plus d'infos sur le site de LA SCENE POETIQUE

02/05/2009

melody


hum ! que cette voix est plaisante en fin d'après midi , un samedi de mai , ensoleillé jusqu'à il y a un quart d'heure où s'est mis à tomber une "bonne ragasse"
Moins rauque que Madeleine Peyroux , moins classieuse que Diana Krall , mais cette Melody Gardot me plait vraiment bien

à écouter ICI ou LA
de préférence avec un verre de quelque chose à la main (Coca & autres sodas absolument interdits évidemment !)

bon anniversaire



Daily life est un blog qui me plait beaucoup , il fête son 3eme anniversaire
KL-Loth tient par ailleurs un site consacré à ses travaux .

parmi les 'intervenants" réguliers qui viennent "commenter" les billets postés sur Daily Life on rencontre Michel Jeannés , alias Monsieur Bouton , que les curieux d'entre vous se souviendront peut être avoir vu dans le film d'Agnès Varda "deux ans après" qui faisait suite aux Glaneurs .Pour prendre connaissance du travail étonnant de MJ , monsieur Bouton , il faut absolument lire son livre ZONE D'INTENTION POETIQUE, (la lettre volée, Bruxelles, 2005). et aller dans La Mercerie le site d'archivage de ses travaux

01/05/2009

j'aime bien les polices


Manifestations dans toutes les rues de Vranze ! mais que fait la police !!!!

JE NE VEUX SURTOUT PAS QU'ON M'OFFRE DU MUGUET !

Les gens vont s'offrir du muguet toute la journée ! ah les inconscients ! si ils lisaient plus régulièrement le Grand Robert !!!!!!!

muguet [mygD] n. m.

III (1769). Méd. (par anal. d'aspect entre la lésion et la fleur du muguet). Inflammation de la muqueuse de la bouche et du pharynx sous forme d'érosions recouvertes d'un enduit blanchâtre, due à une levure (candida ou oïdium. è Candidose). Syn. : blanchet, millet, stomatite crémeuse. | Nourrisson atteint du muguet. | Plaques de muguet.Par ext. | Muguet intestinal, vaginal, imputable aux mêmes levures.

¨ Vétér. | Muguet du poulain, du mouton.


JE NE VEUX PAS DE MUGUET ! MEME PAS UN BRIN !